Petit sortilege sans pretention

Petit sortilege sans pretention

Laisser le père

 

 

Tu es entré à l'intérieur,

Tu m'as laissé si peu de place

Ta rage m'a ouvert le cœur

Et ta nature me glace

 

Quel choix ai-je à présent ?

Vivre ou te laisser vivre ?

Quel choix… te tuer vraiment ?

Anéantir le père et être libre…

 

Tu m'as laissé un corps

Agité par des vagues de maladie

Tu m'as jeté un sort

Et noyé dans le déni

 

Mais j'existe, il me semble

Que ça te plaise ou non

J'ai de la peine en offrande

Et je te laisse compas gnons



25/04/2016
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