Écho de femme ordinaire
Sombres, les passés distendus en souvenirs dégradants
Sombres, les gouffres tendus à choisir un néant
Douloureux sont les chemins qui sclérosent en plaques
Douloureuse encore est la vie qui essuie les claques
Obscène et démente , ma peine hurlant face au loup
Obscène douleur une brute qui me cloue
Il suffit de quelques mots pour écorcher, écarlate
ARRÊTE !
Il y a des blessures impossibles à traiter,
Une douleur soumise à des espoirs perdus
L'amour n'est pas toujours la pire des contrées
Mais elle change profondément celui qu'elle percute.
Est-ce vivre tout autant de pouvoir l'accepter ?
Est-ce vivre souffrant et ne pouvoir changer ?
Aurais-je fait ce choix qui m'a tant répandue ?
Je ne suis plus la même... Je ne l'ai pas voulu
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