Quand souffle le vent
Il n'y a rien qu'un temps infini qui s'étire,
Et des tas de gens figés.
J'écoute le vent siffler ...
Sur une branche, les pieds ballants, je rêve :
dans cet arbre, pour toujours, endormie.
Personne ne m'attend
Et je suis désertée.
Les saisons s'arrêtent au printemps
Ou peut-être est-ce l'hiver ?
Le froid gèle les bourgeons...
Je suis une statue de sel,
immortelle et décédée.
Le vent peut siffler à son aise
et mes pieds se balancer...
Mon âme est bien trop lointaine.
Je ne vais plus m'en occuper...
Et des tas de gens figés.
J'écoute le vent siffler ...
Sur une branche, les pieds ballants, je rêve :
dans cet arbre, pour toujours, endormie.
Personne ne m'attend
Et je suis désertée.
Les saisons s'arrêtent au printemps
Ou peut-être est-ce l'hiver ?
Le froid gèle les bourgeons...
Je suis une statue de sel,
immortelle et décédée.
Le vent peut siffler à son aise
et mes pieds se balancer...
Mon âme est bien trop lointaine.
Je ne vais plus m'en occuper...
Retour aux articles de la catégorie Poésies -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 57 autres membres